Les papiers sont-ils pris en compte dans nos études et réflexions au sein de xiligroup ? Quels sont leurs places dans les fulgurances de l’e-communication ?
Quelques observations de terrain récentes :
Un organisme professionnel national publie son livre blanc. On peut le télécharger sur son site internet, c’est un fichier pdf. De format carré, destiné normalement à un imprimeur, il est difficile à lire sur un écran où la lecture est de haut en bas alors qu’ici le multi-colonnage domine. Si on l’imprime sur une jet-d’encre, attention au niveau de la cartouche bleue vu le nombre d’aplat ! et le format carré dans la page A4 laisse beaucoup de places pour gribouiller des notes.
Un site plutôt du genre encyclopédie publie des articles de fond. Ils sont très lisibles à l’écran et l’on peut choisir la taille des polices sans déconstruire la mise en page. Comme les articles sont longs, on peut aussi retrouver la sensation de la lecture d’une revue en les imprimant car, sur papier, le format, la mise en page s’adapte…
Une agence de communication dans un site Web de style très « movie » propose un signet « contact » où l’on peut lire adresse et téléphone…. mais impossible de faire du copier coller pour enrichir une note ou un carnet d’adresse… et le plan d’accès proposé est in-imprimable. et aucune alternative est en pièce jointe.
Un journal propose d’imprimer via une icone… L’article à peine haut d’un écran se transforme en une dizaine de pages à cause d’éléments qui n’ont pas été supprimés de la feuille de format pour papier. D’autres journaux plus soigneux proposent une mise en page brute ou un pdf mais les complètent des mentions de copyright et de droits de reproduction qui n’apparaissent pas à l’écran.
Les visites de site d’e-commerce pourraient faire l’objet d’un article à lui seul mais comme on dit – on voit de tout – mais rarement des plaquettes ou des modes d’emploi qui tiennent compte de l’e-lecture ou qui, imprimés, optimisent l’espace A4 car le pdf est le simple duplicata d’un fichier pour l’imprimeur d’un livret 10x10cm avec parfois encore les marques techniques… Le domaine des bons de commande, bon de livraison qui vont arrivés avec votre colis est aussi là l’occasion de rechercher pour le destinataire : qui a fait l’envoi ? Où est l’identification claire (logo) et où sont les messages d’accompagnement.
Certains diront que tout cela trouve solution par la mise en place d’une GED (Gestion électronique de documents) ou par le PLM (productlife management). Mais restons simple, regardons les ressources qui sont déjà disponibles sur nos bureaux et apportons au préalable une démarche au service des destinataires en jouant la complémentarité des supports qu’il soit papier, électronique ou les deux.
De ces expériences, xiligroup propose de bâtir une stratégie de communication qui tient compte de ces détails qui tuent mais qui assumés sont ces « plus » qui participent à la qualité de l’information en toute cohérence. La plateforme de services ‘xilione‘ inclut cette approche.